Frappée par la série des 24 petits cadres de pastels à la cire réalisés au verso de cartes de l’Algérie établie par l’état major français, j'en viens à découvrir l'artiste nationaliste, les peintres du signe, le groupe Aouchem et la blessure de l'exil. Ma recherche sur les artistes rencontrés à l'expo du MAM de Paris se poursuit... Quelle n'est pas ma surprise de comprendre que nous étions voisins avec Choukri Mesli et que nous aurions pu nous croiser à Nanterre.
Voir l'album ici
« Aouchem est né il y a des millénaires, sur les parois d'une grotte du Tassili. Il a poursuivi son existence jusqu'à nos jours, tantôt secrètement, tantôt ouvertement, en fonction des fluctuations de l'Histoire. (...) Nous entendons montrer que, toujours magique, le signe est plus fort que les bombes ». Extrait du manifeste d'Aouchem
Voir l'article dans Orient XXI : "Choukri Mesli, le chant du signe"
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire