Où l'on en vient à construire une sorte de palais toscan imaginaire dans l'improbable lumière dorée d'un soir d'été aux odeurs d'ocre brûlé. Je laisse du papier blanc pour 2 raisons : Primo parce que le papier est de mauvaise qualité (ça gondole partout). Deuxio parce que le blanc éclaire la composition.
Pour cette nouvelle série de perspectives, je convoque le nouvel album TRIO de Lars Danielsson
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