mercredi 12 mars 2025

Tri imago au jus de betterave



Où l'on décide de peindre avec du jus de betterave. 
Il y a toujours la danseuse jardinière, la jungle indomptable et la prairie qui luit dans l'après-midi d'été. Mais la betalaïne, le pigment de la betterave mangée en salade dimanche, a complètement changé la donne. J'aime bien l'idée de peindre avec la vie qu'on mange. C'est drôle.

Avec les roses, les violets et les marrons qui entourent les verts, on est comme transportés dans l'Amazonia Perdida. On entre dans des sous-bois improbables où le rouge sang est partout présent.


Je convoque les 2 compères de Hadouk pour accompagner notre immersion dans l'improbable et la selva rouge. Et des odeurs d'amande amère et de piment d'Espelette.





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